Chers adhérents,
Voici le chapitre 2 de notre feuilleton sur les origines de l'usine du Capitaine Cook.
N'oubliez pas de nous envoyer vos remarques, vos souvenirs et tous documents additionnels qui viendraient enrichir ce feuilleton passionnant : asso.dce@gmail.com.
Bonne lecture !
Chapitre 2 - De 1945 au projet du groupe Eiffage
A la sortie de la Seconde Guerre mondiale, après une courte période où l’usine est propriété de la Société anonyme des pêcheries de la Morinie (Quimperlé), Paul Larzul, le père, rachète l’usine de Doëlan en 1946. C’est la naissance de La Doëlanaise.
« C'était un ramassis de bâtiments, sans queue ni tête », comme aimait le rappeler Paul Larzul, le fils, qui avait alors 17 ans : « Le fer-blanc et les matières premières comme l'huile et le sucre, manquaient. Les entreprises avaient des bons de rationnement comme tout le monde. » (Cf. Ouest France du 27/02/2015)
Jusqu'en 1950, les établissements Larzul traitent aussi des petits pois et des haricots. Le conditionnement du poisson est alors un travail saisonnier : sardine et thon blanc de juin à novembre, maquereau de février à mai. Une centaine de femmes s'occupaient de la découpe et du remplissage des boîtes.
C'est la grande époque de la pêche à la sardine, dont deux années record en 1956 et 1962.
La suite en pièce jointe !
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