23 août 2013
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De grosses lacunes à Doëlan concernant l'entretien des rives et des abords du port. On ne sait pas où sont passés les services d'entretien municipaux !
Nous craignons pour l'avenir de notre port, alors qu'il est et reste un des principaux atouts de la commune de Clohars-Carnoët et le centre d'intérêt du tourisme des plaisanciers.Sans compter son importance pour les professionnels de la pêche !
DCE le dit et le répète depuis longtemps : il faut être vigilant car aucune situation n'est acquise, et l'environnement d’un port se dégrade vite. De plus les coûts de remise en état sont en général bien supérieurs à ceux d'un entretien régulier !
Des exemples que nous avons déjà évoqués ici ou là, mais qui n'ont pas évolués :
- Les murets du Pont-Du (photos 1 et 2)
Ils ont été refaits à neuf il y a plusieurs années, et le travail était de qualité. Aujourd'hui ils ne sont pas entretenus, la végétation et le lierre en particulier couvrent une bonne partie des pierres sèches des deux côtés de la route et aussi des deux côtés des murets. Quant on sait à quelle allure le lierre produit ses ravages sur les murs de pierre (il suffit de regarder ailleurs le résultat) on ne peut qu'être inquiet sur le devenir des parapets du pont !
- Les marches d’escaliers allant à la ria (photo 3)
A plusieurs endroits elles sont recouvertes d’algues et de mousses vertes. C’est glissant et ce n’est pas beau !
- Les parapets du quai Rive-Gauche (photos 4, 5, 6)
En particulier dans la partie allant du quai Kernabat au phare aval (vert). La végétation y foisonne, le lierre prospère et va même jusqu’à traverser les murets dans leur largeur : pierres descellées, fissures et affaissements se rencontrent à plusieurs endroits. La restauration en ciment grossier faite sur le dessus des murets ne servira à rien, c’est par en dessous que la maladie progresse…
- Contreforts de la route, entre les parapets et l’estran, quai Kernabat (photos 7 et 8)
Ils sont en principe très beaux et fort bien restaurés. Les pierres sont soient sèches soient jointoyées proprement.
Problème à nouveau : le lierre commence à faire son œuvre destructrice là aussi, et cela est bien dommage, car il serait aisé d’y remédier en le retirant (accès à marée basse) et en rendant au mur sa solidité originale.
Nous n’évoquerons pas ici à nouveau l’état préoccupant de la digue du port de Doëlan, qui a fait l’objet d’un article dans le blog le 26 mars 2013 : « avis de tempête sur la Grande-Vache : pas de travaux en 2013 » !
Nous appelons les riverains et amoureux du port de Doëlan à s’exprimer et à nous faire part d’autres exemples de situations pour lesquelles DCE peut et doit intervenir.
DCE
Published by Association Doëlan Clohars Environnement
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dans
Vie du port de Doëlan
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